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Pour 4 personnes :
500 g de fromage blanc
100 g de sucre semoule
2 œufs
60 g de maïzena
60 g de raisins secs
25 g de beurre
1 sachet de sucre vanillé
moule à manqué de 22 cm
Mettre les raisins à tremper dans l'eau chaude
Découper dans du papier sulfurisé un cercle de 22cm, le beurrer largement et disposer au fond du moule
Casser les oeufs en séparant les blancs des jaunes
Mélanger le fromage blanc avec le sucre et les jaunes d'oeufs, la maïzena en pluie et le sucre vanillé.
Egoutter les raisins secs, les ajouter à la préparation
Battre les blancs en neige, verser sur le mélange et incorporer doucement en faisant passer la pâte sur les blancs jusqu'à ce que le mélange soit homogène
Verser dans le moule
Faire cuire à feux doux (150°) pendant une heure.
Vérifier que le gâteau est bien cuit en piquant une lame de couteau
Démouler à chaud
Régalez-vous
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Peinture sur papier aquarelle avec fleurs séchées
Taille : 13,5 x 19, 5
Livrée sans cadre
Cliquez sur les images pour les afficher en grandCes mots magiques nous font évader du quotidien :
La forêt
Forêt silencieuse, aimable solitude,
Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré !
Dans vos sombres détours, en rêvant égaré,
J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude !
Prestiges de mon cœur ! je crois voir s'exhaler
Des arbres, des gazons une douce tristesse :
Cette onde que j'entends murmure avec mollesse,
Et dans le fond des bois semble encor m'appeler.
Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière
Ici, loin des humains !... Au bruit de ces ruisseaux,
Sur un tapis de fleurs, sur l'herbe printanière,
Qu'ignoré je sommeille à l'ombre des ormeaux !
Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ;
Ces genêts, ornements d'un sauvage réduit,
Ce chèvrefeuille atteint d'un vent léger qui fuit,
Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles.
Forêts, dans vos abris gardez mes vœux offerts !
A quel amant jamais serez-vous aussi chères ?
D'autres vous rediront des amours étrangères ;
Moi de vos charmes seuls j'entretiens les déserts.François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)
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Voici un dessert de saison bien parfumé
- Prendre cinq poires comice
- 1 litre d'eau
- 250 g de sucre
- 4 pincées de clous de girofle en poudre ( je prends 4 clous de girofle que je mets dans un mortier pour en faire de la poudre )
- 5 étoiles de badiane
- une petite cuillère de cannelle
Vous ajoutez tous vos ingrédients dans l'eau.
Vous coupez les poires en deux, vous les épluchez et les évidez.
Rajouter les poires.
Porter à ébullition et la maintenir pendant 20 minutes.
Je vous garantis un sirop à boire car bien parfumé
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Carte double réalisée à partir d'une de mes aquarelles
Taille : 10 x 15
Livrée avec une enveloppe
Cliquez sur les images pour les afficher en grand
Des mots pour s'évader
Ma chaumière
Ma chaumière aurait, l'été, la feuillée des bois pour
parasol, et l'automne, pour jardin, au bord de la fenêtre,
quelque mousse qui enchâsse les perles de la pluie, et
quelque giroflée qui fleure l'amande.
Mais l'hiver, - quel plaisir, quand le matin aurait secoué
ses bouquets de givre sur mes vitres gelées, d'apercevoir
bien loin, à la lisière de la forêt, un voyageur qui va
toujours s'amoindrissant, lui et sa monture, dans la neige
et la brume !
Quel plaisir, le soir, de feuilleter, sous le manteau de
la cheminée flambante et parfumée d'une bourrée de genièvre,
les preux et les moines des chroniques, si merveil-
leusement portraits qu'ils semblent, les uns jouter, les
autres prier encore !
Et quel plaisir, la nuit, à l'heure douteuse et pâle, qui
précède le point du jour, d'entendre mon coq s'égosiller
dans le gelinier et le coq d'une ferme lui répondre faible-
ment, sentinelle juchée aux avant-postes du village endormi.,
Ah ! si le roi nous lisait dans son Louvre, - ô ma muse
inabritée contre les orages de la vie ! - le seigneur
suzerain de tant de fiefs qu'il ignore le nombre de ses
châteaux ne nous marchanderait pas une chaumine !
De la maison, abri douillé,
Où dans tes bras je veux rêver.Aloysius Bertrand (1807-1841)
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Foulard en soie pongé N° 81 taille 45 x 140
Jaune, bleu, rose, mauve
avec un effet un peu froissé naturellement
Cliquez sur les images pour les afficher en grandSi vous voulez un foulard avec vos propres couleurs, contactez-moi (2 ou 3 couleurs seulement)
Il faut rêver par ces temps gris :
Octobre
Les petits savoyards sont de retour, et déjà leur cri
interroge l'écho sonore du quartier ; comme les hirondelles
suivent le printemps, ils précèdent l'hiver.
Octobre, le courrier de l'hiver, heurte à la porte de
nos demeures. Une pluie intermittente inonde la vitre
offusquée, et le vent jonche des feuilles mortes du
platane le perron solitaire.
Voici venir les veillées de famille, si délicieuses
quand tout au dehors est neige, verglas et brouillard,
et que les jacinthes fleurissent sur la cheminée, à la
tiède atmosphère du salon.
Voici venir la Saint-Martin et ses brandons, Noël et
ses bougies, le jour de l'an et ses joujoux, les Rois
et leur fève, le carnaval et sa marotte.
Et Pâques, enfin, Pâques aux hymnes matinales et
joyeuses, Pâques dont les jeunes filles reçoivent la
blanche hostie et les oeufs rouges !
Alors un peu de cendre aura effacé de nos fronts l'ennui
de six mois d'hiver, et les petits savoyards salueront
du haut de la colline le hameau natal.Aloysisus BERTRAND (1807-1841)
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